« Le bonheur au travail » dans les entreprises libérées

En france, 11% seulement des salariés en France se lèvent le matin avec le sourire pour aller au travail. 61%Les salariés sont désengagés et vont au travail pour chercher un salaire et non pour prendre des initiatives. Et 31% sont activement désengagés et sont prêt à saboter leur travail pour démontrer leur malheur au travail.

Voici un très beau reportage sur les entreprises libérées, qui reviennent à l’essentiel, qui font d’avantage confiance à l’humain, à ceux qui font. Leur principe est : la suppression de toute hiérarchie intermédiaire doublée d’une autonomie totale des salariés à propos des décisions prises pour améliorer leur productivité. Les supérieurs hiérarchiques sont remplacés par des leaders qui sont choisis par les salariés.

On y parle de télétravail, de sociétés basées sur les résultats uniquement, de la remise en cause du management « command and control », de société qui améliorent leurs chiffres d’affaire en  confiant les décisions à leurs salariés.

Le pitch de Martin Meissonnier, le réalisateur du documentaire

Votre travail vous oppresse ? Vous souhaitez un vrai changement dans votre entreprise, retrouver le sourire en allant travailler ou un sens à vos efforts ?

Ce documentaire, présentent des entreprises « libérées » qui expérimentent de nouvelles voies : changer la hiérarchie, faire confiance aux salariés, supprimer les contrôles, la paperasse inutile…

Ces entreprises où il fait bon vivre existent, et surprise : elles sont en pleine croissance !

Partageons ensemble les recettes du « Bonheur au travail » !

Extrait  de la vidéo diffusée sur ARTE le mardi 24.02 à 20h50

Pour voir l’intégralité du documentaire sur Arte : http://www.arte.tv/guide/fr/051637-000/le-bonheur-au-travail

Et vous êtes-vous heureux au travail ?

Pour le savoir répondez au questionnaire en ligne sur le site d’Arte : « Êtes-vous heureux au travail ? »

 

Vous contribuez à délivrer du bonheur ? Ou vous souhaitez commencer à en délivrer ? Rejoignez le mouvement « Delivering Happiness »

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La culture d’entreprise et la mission de Zappos vous inspirent ?  Vous souhaitez-vous aussi l’adopter pour délivrer du bonheur ? Découvrez vite le site « Delivering Happiness » et les 10 valeurs fondamentales à avoir en tête pour vous lancer dans l’aventure et délivrer du bonheur !!!

« Delivering Happiness is a global movement to help people, organizations, and businesses apply frameworks of happiness to their lives. Join the Delivering Happiness Movement to learn more, and to get involved with fellow deliverers of happiness ! »

You can create your own company core values by following these 10 core Values :

  1. Be true to your (weird) self. Live with passion and purpose.
  2. Think, say and do in harmony and in consideration of others.
  3. Communicate with honesty and respect.
  4. Have fun & think full. 50% air + 50% water = 100% full.
  5. Inspire & be inspired.
  6. Be humble, be grateful.
  7. Build community and meaningful relationships.
  8. Keep your heart + mind open and aligned. Keep growing and learning.
  9. Be like Macgyver & Bruce Lee. Do more with less, be creative and adventurous, and fluid like water.
  10. Create change in the world more than you ever thought possible.

 

Pour en savoir plus ou rejoindre le mouvement sur le site www.deliveringhappiness.com

capture du site delivering happiness (DH)

Un « lancer de fleurs » pour conclure votre rétrospective

Marre de terminer vos rétrospectives par un plan d’action ou par un ROTI ?

Je vous propose de changer un peu ! Profitons des beaux rayons de soleil qui inondent la France en ce moment et utilisons l’image des fleurs qui habillent nos parcs de belles couleurs, pour proposer à nos équipe un nouvel exercice de conclusion de rétrospectives.

L’objectif principal de cette exercice est de remercier le partage, les échanges et la bienveillance qui ont eu lieu pendant le dernier sprint, en remerciant chacun son tour un membre de l’équipe, un lui lançant une fleur.

Image

Cet exercice se déroule de cette manière :

En premier lieu vous dessinez avant la rétro une grande fleur sur un tableau blanc ou un paperboard.

A l’intérieur de la fleur vous marquez cette phrase :

« [Prénom],
je te remercie de … ,
cela m’a permis de… . »

Ensuite, vous prendrez soin de recouvrir votre œuvre jusqu’au moment de la conclusion.

Au moment de conclure, vous annoncez que vous allez avoir encore besoin de quelques minutes d’attention, et vous démasquez le dessin.

Vous expliquez au groupe que vous souhaitez que chacun d’entre eux écrive sur un post-it un mot de remerciement à un membre de l’équipe et un seul.

Important :

  • Le remerciement doit impérativement être nominatif.
  • Chaque membre de l’équipe ne doit faire qu’un seul remerciement.
  • Cela ne doit prendre que 2 minutes pas plus. Le remerciement doit sortir du cœur !

Lorsque tout le monde à finalisé son mot, vous pouvez passer à la dernière phrase. Un par un, les collaborateurs se lèvent pour lire le post-it et aller le coller sur votre fleur.

Enjoy ! Car je vous l’assure, c’est un bon moment d’équipe à vivre !

L’agilité, plus qu’une méthode, des valeurs !

image équipe

Mon bilan après 4 années de pratique intensive & passionnée d’Agilité est qu’il ne faut jamais perdre de vue les valeurs fondatrices d’une équipe « Agile ». Sans ces valeurs, l’agilité et ses rituels ne seraient que du folklore.

J’ai découvert l’agilité en 2009 lorsque j’ai commencé à travailler, pour des sites de petites annonces immobilières, avec une équipe de dev qui pratiquait Scrum et XP.

Au départ pour moi ma vision de l’agilité était réduite à un rituel quotidien étrange et des post-it collés sur des tableaux blancs.

Puis, j’ai endossé le rôle de Product Owner au sein de cette équipe. Je me suis donc intéressée plus sérieusement au sujet en avalant livres, blogs, formation et conferences. J’ai alors découvert le manifeste Agile, ses valeurs et ses principes. J’ai tout de suite été séduite  !!!

Depuis, sprint après sprint, avec le Scrum Master et l’équipe on met tout en oeuvre pour livrer régulièrement des fonctionnalités à forte valeur ajoutée et attendues par le client ; on s’interroge sur la qualité et la pérennité de nos livrables et du code produit par l’équipe  ; on cultive la communication, la transparence et la loyauté au sein de l’équipe ; on s’assure que l’équipe à les moyens de s’auto-organiser ; on recherche systématiquement le feed-back du client pour pouvoir ajuster les fonctionnalités livrées ou à livrer…

Pourquoi fait-on tout cela ? Pourquoi une équipe Scrum au moyen de ses 4 rituels et de son tableau de post-i ne dévie pas de la route de la qualité, de la satisfaction client et de l’amélioration continue ?

Tout simplement parce que derrière la méthodologie il y a des valeurs fortes adoptées par l’équipe !

Rappel des 4 valeurs fortes  :

→ « Les individus et leurs interactions plus que les processus et les outils. »

L’équipe est très importante. La communication est une notion fondamentale. L’équipe est plus importante que les outils ou les procédures et on préfère avoir une équipe de développeurs soudés et qui communiquent, plutôt qu’une équipe composée d’experts fonctionnant chacun de manière isolée.

→ « Des logiciels opérationnels plus qu’une documentation exhaustive. »

Il est vital que l’application fonctionne. Le reste, et notamment la documentation technique, est une aide précieuse mais non un but en soi. Une documentation précise est utile comme moyen de communication. La documentation représente une charge de travail importante, mais peut pourtant être néfaste si elle n’est pas à jour. Il est préférable de commenter abondamment le code lui-même, et surtout de transférer les compétences au sein de l’équipe (on en revient à l’importance de la communication).

→ « La collaboration avec les clients plus que la négociation contractuelle. »

Le client doit être impliqué dans le développement. On ne peut se contenter de négocier un contrat au début du projet, puis de négliger les demandes du client. Le client doit collaborer avec l’équipe et fournir un feed-back continu sur l’adaptation du logiciel à ses attentes.

→ « L’adaptation au changement plus que le suivi d’un plan. »

La planification initiale et la structure du logiciel doivent être flexibles afin de permettre l’évolution de la demande du client tout au long du projet. Les premières livraisons du logiciel vont souvent provoquer des demandes d’évolution.

Et  ses 12 Principes, qui les déclinent :

1/ La plus haute priorité est de satisfaire le client en livrant rapidement et régulièrement des fonctionnalités à forte valeur ajoutée.

2/ Le changement est accepté, même tardivement dans le développement, car les processus agiles exploitent le changement comme avantage compétitif pour le client.

3/La livraison s’applique à une application fonctionnelle, toutes les deux semaines à deux mois, avec une préférence pour la période la plus courte. Livrez fréquemment un logiciel opérationnel.

4/ Le métier et les développeurs doivent collaborer régulièrement et de préférence quotidiennement au projet.
Les utilisateurs ou leurs représentants le PO (Product Owner) et les développeurs doivent travailler ensemble quotidiennement tout au long du projet.

5/ Le projet doit impliquer des personnes motivées. Donnez leur l’environnement et le soutien dont elles ont besoin et faites leur confiance quant au respect des objectifs. (C’est tellement plus motivant pour tous que le mode Command and Control)

6/ La méthode la plus efficace de transmettre l’information est une conversation en face à face.

7/ L’unité de mesure de la progression du projet est un logiciel fonctionnel (on ne comptabilise donc pas les fonctions non achevées).

8/ Les processus agiles promeuvent un rythme de développement soutenu et soutenable (afin d’éviter la non qualité découlant de la fatigue).
Ensemble, les commanditaires, les développeurs et les utilisateurs devraient être capables de maintenir indéfiniment un rythme constant.

9/ Les processus agiles recommandent une attention continue à l’excellence technique et à la qualité de la conception.

10/ La simplicité et l’art de minimiser les tâches parasites, sont appliqués comme principes essentiels.

11/ Les équipes s’auto-organisent afin de faire émerger les meilleures architectures, spécifications et conceptions.

12/ À intervalle régulier, l’équipe réfléchit aux moyens de devenir plus efficace, puis accorde et ajuste son processus de travail en conséquence.

Hackez la culture d’entreprise !

Culture-Hacker
J’ai adoré lors du ScrumDay 2013 la Keynote d’ouverture « Culture Hacking » pleine de peps de Robert Richman ! Il est venu sur scène avec une énergie folle, un enthousiasme débordant et surtout son « POWER OF NOW », philosophie à laquelle j’adhère à 100% !

Robert Richman a exercé le métier de Culture Strategist chez Zappos, l’entreprise dont la culture d’entreprise est tellement incroyable qu’elle a beaucoup été étudiée et disséquée à travers le monde.

Si vous l’avez raté (grève SNCF oblige…) voici en quelques mots les 5 hacks à utiliser sans modération pour pirater le culture d’entreprise :

Hack #1 “la manière dont vous entrez dans une pièce peut faire basculer une culture !”.

La culture d’entreprise doit se voire, s’entendre, se ressentir… Entrez dans une pièce avec de l’énergie, vous impulserez de l’énergie !

Hack #2 “détruisez quelque chose”

Construire est souvent long et parfois fastidieux, détruire est beaucoup plus rapide. Se détacher du passer et détruisant quelque chose de symbolique (ex : les codes vestimentaire).

Hack #3 “une entreprise n’est pas un médicament”

Ne venez pas chercher de l’énergie en venant travailler. Ressourcez-vous dans votre vie personnelle, renouvelez votre énergie et venez travailler avec  !

Hack #4 “La frustration vaut de l’or”

Si vous êtes frustré, vous éprouvé de la colère et le l’énergie et donc vous êtes impliqué, passionné !

Hack #5 “Mettre en place des rituels énergisant”

Par exemple chaque Jeudi après-midi, à 15h, a lieu chez Zappos the 3 PM Thursday Dance Party. L’énergie dégagée par ce rituel se diffuse dans toute l’entreprise !

Vous avez envie d’en savoir plus ? Voici la vidéo du scrumday 🙂

Merci Robert pour cette belle énergie que tu nous a transmis en ce début de matinée !!!

La Gestion de Produit Agile

Vous souhaitez comprendre le métier de Product Owner ? En savoir plus sur la gestion de projet agile ? Comprendre le fonctionnement d’une équipe Scrum ?

Je vous conseille de regarder cette vidéo de Henrik Kniberg intitulé « Agile Product Ownership in a nutshell » qui en 15 minutes vous expliquera de manière ludique le rôle de PO et ses différentes interactions avec l’équipe et ses clients.

La version original en anglais a été  traduite en français par Cédric Chevalérias et doublée par Florent Lothon (www.agiliste.fr)

Tous en SpeedBoat pour une belle rétrospective !

speedboat4Vous avez tous en tête j’imagine le 12ème principe du manifeste agile « À intervalles réguliers, l’équipe réfléchit aux moyens de devenir plus efficace, puis règle et modifie son comportement en conséquence. » !

Ce principe ce matérialise en scrum par un cérémonial qui a lieu à chaque fin d’itération et que l’on nome la rétrospective. Le scrum master dispose d’une multitude d’exercices pour mener à bien cette rencontre.

Fin janvier 2013, nous avons fait une nouvelle rétrospective. Et à cette occasion notre Scrum Masteur nous a proposé de jouer pour la 3ème fois le SpeedBoat game.

J’apprécie tout particulièrement cet exercice de rétro car il est très imagé !  Il me semble que le simple fait de matérialiser nos succès, nos forces et nos freins sous la forme d’un dessin invite facilement toute l’équipe au voyage ! La mer n’est pas toujours calme lors de nos épopée, mais je trouve toujours très agréable que le bout de voyage que nous avons réalisé tous ensemble lors d’un sprint  reprenne vie à travers cette image.

© Anne
© Anne

Comment s’organise cette rétrospective ?

1/ Un membre de l’équipe se dévoue pour dessiner un bateau à voile, une île sur laquelle brille un beau soleil et du vent.

Pour cette 3ème édition, nous avons eu le droit à un très beau dessin de bateau. Merci Anne !-)

 

Explication de la symbolique du dessin :

  • Le bateau symbolise l’équipe
  • Le vent symbolise les éléments qui nous ont portés pour répondre à notre engagements
  • L’île est le symbole du sprint idéal, de celui que nous souhaiterions vivre à chaque fois.
  • Les ancres symbolisent elles les freins qui nous ont empêchés d’atteindre notre île

2/ Chacun des membres de l’équipe dispose de quelques minutes pour écrire sur des post-it ce qu’il a apprécié, ce qui l’a aidé ou ce qui l’a freiné pendant l’itération pour atteindre son objectif.

speedboat2

3/ Puis chacun des membre de l’équipe vient coller à tour de rôle un de ses post-it au bon endroit sur le dessin.

Étrangement, lors de notre 3ème SpeedBoat tous les premiers post-it ont été collés sur l’île 🙂

Beaucoup de post-it ont été collés sur le vent…Mais ensuite, des ancres ont été jetées à la mer 😦

Mais, c’est bon signe ! L’équipe a un idéal en tête et connais ses forces mais reconnait également qu’elle a des faiblesses… on va pouvoir s’améliorer, c’est top !

Nb : Pour que cela soit plus visuel, le scrum master avait choisi de prendre deux couleurs différentes, le orange pour matérialiser le positif et le rose pour matérialiser le négatif.

speedboat3

4/ Le scrum master reprend ensuite les post-it en les lisant à haute voix et regroupe ceux qui ont un sujet commun.

5/ Ensuite l’équipe vote pour les thèmes qu’elle a envie de développer pour s’améliorer. Chaque membre de l’équipe à le droit à 3 votes pour le ou les thèmes de son choix.

6/ L’équipe discute des 3 thèmes qui ont eu le plus de votes et décide des actions qu’elle devra mettre en oeuvre lors des prochaines itérations pour pouvoir atteindre l’île sans encombre.

7/ Après la rétro notre scrum master affiche sur notre tableau les actions à suivre pour que nous puissions y jeter un oeil régulièrement lors du sprint suivant. Certaines actions seront récurrentes et resteront donc affichées sur le tableau sprint après sprint.

8/ Un point sur les actions sera fait lors de la rétro suivante pour s’assurer que l’équipe cherche bien à mettre en oeuvre les actions qui lui permettront de devenir plus efficace.

Merci à toute l’équipe pour ce beau voyage !

Mes tests utilisateurs « Low cost »

2012 aura été pour moi une année importante dans mon parcours professionnelle.

Importante, car j’ai pu prouver au sein de ma société l’importance de l’UX dans la réussite d’un projet IT.

En effet, je m’étais donné comme mission de trouver un modèle de test utilisateur à mettre en place au sein de mes projets, afin d’améliorer l’utilisabilité de nos fonctionnalités et donc également nos taux de transformations (KPI).

Mon exigence : faire en sorte que ces tests soient déployables facilement pour pouvoir être mis en place avant/après chaque itération.

A force de recherche et de lectures, j’ai trouvé mon modèle : les tests utilisateurs ‘Low cost’, dont voici un retour d’expérience.

Capture1

NB : par ailleurs, j’ai d’abord exécuté ces tests après livraison des développements. Mais dans un esprit très Lean, pour éviter de gaspiller du temps de développement inutilement j’ai programmé ces tests de plus en plus en amont du dev, jusqu’à travailler uniquement sur prototypes dynamique.

Nous avons obtenu de très beaux résultats avec ces tests, en améliorant de plusieurs points l’utilisation de certaines fonctionnalités.

N’hésitez pas à me laisser un commentaire si vous avez des remarques ou des pistes d’amélioration.

Découper un projet

Pourquoi mon premier atelier de découpage de projet en US a été un echec !

Lors de la préparation de notre dernier projet web, nous avons tenté de faire un atelier de découpage fonctionnel en US pour alimenter le backlog produit.

Malheureusement je n’avais pas eu beaucoup de temps devant moi pour préparer cet atelier et aussi très peu de connaissance sur le sujet à l’époque.

Nous avons donc organisé un atelier de travail de manière empirique avec toute l’équipe de développeurs et munis de post-it nous avons procédé au découpage.

Malheureusement au final je me suis retrouvée avec une multitude de use cases, voir même des tâches techniques. Elles se sont empilées dans mon backlog et il m’a été très difficile de les prioriser. Par ailleurs, le découpage n’ayant pas été réellement fonctionnel, il a parfois été nécessaire d’attendre qu’un certain nombre d’entre elles soient réalisées pour faire les recettes.

Avec un peu de recul, voici les erreurs que nous avons commis pour ce premier exercice :

  • Procéder au découpage uniquement avec l’équipe technique et non avec le métier
  • Ne pas avoir préparé une frise, représentant le temps et la priorité, pour pouvoir positionner les US au fure et à mesure
  • Ne pas avoir incité l’équipe à découper systématiquement de manière fonctionnelle
  • Ne pas avoir organiser les releases en fonction de ce découpage

 Ayant assisté à deux très bonnes conférences lors de l’Agile France 2011, j’ai découvert que cet exercice avait un nom « story map » et je me sent mieux armée pour organiser lors de mon prochain projet un atelier de story mapping.